La vie en rose


Quand il me prend dans ses bras
Il me parle tout bas,
Je vois la vie en rose.Il me dit des mots d’amour,
Des mots de tous les jours,
Et ca me fait quelque chose.Il est entre dans mon coeur
Une part de bonheur
Dont je connais la cause.

C’est lui pour moi. Moi pour lui
Dans la vie,
Il me l’a dit, l’a jure pour la vie.

Et des que je l’apercois
Alors je sens en moi
Mon coeur qui bat

Des nuits d’amour a ne plus en finir
Un grand bonheur qui prend sa place
Des enuis des chagrins, des phases
Heureux, heureux a en mourir.

Quand il me prend dans ses bras
Il me parle tout bas,
Je vois la vie en rose.

Il me dit des mots d’amour,
Des mots de tous les jours,
Et ca me fait quelque chose.

Il est entre dans mon coeur
Une part de bonheur
Dont je connais la cause.

C’est toi pour moi. Moi pour toi
Dans la vie,
Il me l’a dit, l’a jure pour la vie.

Et des que je l’apercois
Alors je sens en moi
Mon coeur qui bat

§

Occhi che fanno abbassare i miei
Un ridere che si perde nella sua bocca
Ecco il ritratto senza ritocchi
Dell’uomo al quale appartengo
Quando mi prende fra le braccia

Mi parla a bassa voce
Vedo la vita tutta rosa
Mi dice parole d’amore
Parole di tutti i giorni,

E sento che qualcosa
E’ entrato nel mio cuore,

Una parte di felicità
Di cui conosco la causa
E’ lui per
Me, io per lui nella vita
Me l’ha detto, l’ha giurato sulla sua vita,

E fin dal momento in cui lo scorgo da lontano
Allora sento in me, il cuore che batte…

Notti d’amore senza fine
Una gran felicità che si fa largo
I fastidi, i dolori si cancellano
Felice, felice da morire

ÉDITH PIAF      (musica di Louis Guglielmi)

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Published in: on ottobre 10, 2013 at 07:05  Comments (2)  

Hymne à l’amour

Le ciel bleu sur nous peut s’effondrer
Et la terre peut bien s’écrouler
Peu m’importe si tu m’aimes
Je me fous du monde entier
Tant qu’l’amour inond’ra mes matins
Tant que mon corps frémira sous tes mains
Peu m’importe les problèmes
Mon amour puisque tu m’aimes

J’irais jusqu’au bout du monde
Je me ferais teindre en blonde
Si tu me le demandais
J’irais décrocher la lune
J’irais voler la fortune
Si tu me le demandais
Je renierais ma patrie
Je renierais mes amis
Si tu me le demandais
On peut bien rire de moi
Je ferais n’importe quoi
Si tu me le demandais

Si un jour la vie t’arrache à moi
Si tu meurs que tu sois loin de moi
Peu m’importe si tu m’aimes
Car moi je mourrais aussi
Nous aurons pour nous l’éternité
Dans le bleu de toute l’immensité
Dans le ciel plus de problèmes
Mon amour crois-tu qu’on s’aime
Dieu réunit ceux qui s’aiment

§

INNO ALL’AMORE

Il cielo blu su noi può cadere,
E la terra può ben crollare,
Mi importa poco se mi ami,

Finché l’amore inonderà le mie mattine,
Finché il mio corpo rabbrividirà sotto le tue mani,
Mi importano poco i problemi,
Amore mio, poiché mi ami.

Andrei fino alla fine del mondo,
Mi farei tingere in bionda,
Se me lo chiedessi.
Andrei a sganciare la luna,
Andrei a rubare la fortuna,
Se me lo chiedessi.
Rinnegherei la mia patria,
Rinnegherei i miei amici,
Se me lo chiedessi.
Si può ridere bene di me,
Farei qualsiasi cosa,
Se me lo chiedessi.

Se un giorno a me la vita ti strappa,
Se muori, che sia lontano da me,
Mi importa poco, se mi ami,
Perché morirei anch’io.

Avremo per noi l’eternità,
Nel blu di tutta l’immensità,
Nel cielo, non più problemi,
Amor mio, credimi se ci si ama,

Dio riunisce quelli che si amano.

ÉDITH PIAF      (musica di Marguerite Monnot)